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Proposition de supervisions et contrôles (destinée aux médecins généralistes, psychiatres, psychologues et psychanalystes)


Proposition de supervisions et contrôles (destinée aux médecins généralistes, psychiatres, psychologues et psychanalystes)

Il est habituel de penser que le psychiatre, en sa qualité de médecin, est habilité à « assurer des thérapies » (https://www.studyrama.com/formations/fiches-metiers/psychologie/psychiatre-1263). À vrai, dire, il a le rôle de « soigner les troubles du comportement et les souffrances morales et psychiques des patients. Pour y parvenir, il écoute avec attention ses patients et analyse minutieusement leurs comportements et schémas psychiques. ». Mais cela ne l’autorise pas à assurer des psychothérapies car, pour cela, une formation longue et extra-universitaire où il devient patient, voire psychanalysant, est éthiquement exigée. Selon le même site, « Le psychiatre conduit également de nombreux entretiens et bilans de personnalité pour détecter les troubles dont souffrent ses patients. Sa qualité de médecin lui permet de disposer de différents traitements, ainsi il peut prescrire des médicaments, des thérapies ou encore recommander une hospitalisation d’urgence ou un internement. Les cas les plus légers sont renvoyés dès que possible dans leur famille, après traitement. Pour les autres, atteints de troubles plus sévères, le psychiatre peut décider le placement en hôpital psychiatrique ou opter pour un traitement ambulatoire (sans internement). »

 

En partant du principe que « Sous le terme de psychologue se cachent différents domaines d’interventions. » (https://www.studyrama.com/formations/fiches-metiers/psychologie/psychologue-1258), et que « La plus grande partie des psychologues installés en libéral est orientée vers la psychologie clinique (bilans psychologiques, psychothérapies…) », il m’est possible de poser deux questions : a) de quelle psychothérapie s’agit-il et b), qui a formé ces psychologues à la psychothérapie ? Si « Techniquement, le psychologue clinicien, suivi au départ par un superviseur, ne cesse de se former en participant à des stages de formation complémentaires, ou à des colloques sur un thème particulier », il faut signaler qu’aucun clinicien ne se forme de la sorte. C’est la psychothérapie personnelle, voire la psychanalyse, qui forme le clinicien à assurer la clinique. La « maturité » n’assure pas « l’expérience », en revanche, la cure personnelle du praticien, ainsi que les supervisions, contrôles et études théoriques, peuvent lui permettre d’occuper la position de clinicien.

 

En d’autres termes, le psychiatre, comme le psychologue, n’est habilité, et en dépit de son excellente formation universitaire, à assurer des psychothérapies, voire des psychanalyses.

 

C’est à partir de ce constat que je propose des supervisions et contrôles à des psychiatres et psychologues qui souhaitent devenir des cliniciens et ainsi, assuré des psychothérapies et des psychanalyses.

 

La psychiatrie, branche de la médecine, forme des psychiatres à la prescription et non à la psychothérapie, l’université sanctionne d’un titre de psychologue sans former celui-ci à devenir clinicien. Je m’engage à assurer la supervision et le contrôle des praticiens ayant des difficultés dans leur exercice quotidien, en institution ou en libéral.

 

Habilité à assurer des supervisions et contrôles, pour des psychothérapeutes et psychanalystes, je travaille aussi à la mise en place clinique pour les jeunes diplômés en psychologie et en psychiatrie qui souhaitent s’installer en libéral et assurer des psychothérapies ou des psychanalyses.


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